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Intervalo de año
1.
Artículo en Francés | AIM | ID: biblio-1268309

RESUMEN

Introduction: en 2014, moins de 3 enfants sur dix (823 000 enfants environ) vivant avec le VIH avaient accès à un traitement antirétroviral (TAR), contre plus de quatre adultes sur dix. En conséquence, les enfants survivants qui ont une chance d´accéder au TAR sont traités souvent tardivement, à un stade avancé de la maladie. À Lubumbashi (RDC), les études sur l´évaluation du TAR chez l´enfant sont quasi nulles. Cette étude avait comme objectif décrire les caractéristiques sociodémographiques, cliniques, immunologiques et thérapeutiques des enfants infectés par le VIH et sous TAR et identifier les facteurs associés à un échec thérapeutique. Méthodes: il s'agit d'une étude transversale, réalisée du 1er janvier au 31 mars 2015 et portant sur une cohorte d'enfants de moins de 15 ans infectés par le VIH, suivis dans le service de Pédiatrie de l´hôpital Jason Sendwe. Résultats: 62 enfants âgés de moins de 15 ans infectés par le VIH ont été mis sous TAR. Les filles étaient prédominants (54,8%). 83,9% étaient à un stade clinique avancé (3 ou 4) lors de l´initiation au TAR. Notre étude montre que l´échec thérapeutique était significativement associé à l´âge ≥10 ans lors de l´évaluation de la prise en charge. Conclusion: l´étude a permis de montrer le retard avec lequel la prise en charge de l´enfant infecté VIH à Lubumbashi s´effectue; suggérant ainsi un renforcement du programme de la PTME et un dépistage précoce en vue d´une prise en charge précoce et la mise en place d´un mécanisme de rétention des enfants suivis


Asunto(s)
Antirretrovirales , Niño , República Democrática del Congo , Progresión de la Enfermedad
2.
Pan Afr. med. j ; 26(199)2017.
Artículo en Francés | AIM | ID: biblio-1268474

RESUMEN

Introduction: l'objectif de cette étude était de déterminer la prévalence contraceptive moderne et les barrières à l'utilisation des méthodes contraceptives modernes chez les couples de la Zone de Santé Dibindi, à Mbuji-Mayi en République Démocratique du Congo.Méthodes: de Mai à Juin 2015, nous avons réalisé une étude descriptive transversale. Nous avons inclus les femmes âgées de 15 à 49 ans, en union maritale, non enceinte au moment de l'enquête, qui habitaient la Zone de santé Dibindi depuis deux ans et ayant consenti librement de participer à l'étude. La collecte des données a été réalisée par interview libre des femmes. La prévalence contraceptive moderne se référait aux femmes en cours d'utilisation, au moment de l'enquête, des contraceptifs modernes. La comparaison des proportions a été réalisée au seuil de signification de 5%. Le test de Bonferroni a été utilisé pour comparer, deux à deux, les proportions des barrières à l'utilisation des contraceptifs modernes.Résultats: la prévalence contraceptive moderne à Dibindi, en 2015, était de 18,4%. Elle était faible eu égard aux services de planification familiale disponibles dans cette Zone de santé. Plusieurs femmes refusaient d'utiliser les méthodes contraceptives modernes malgré l'information dont elles disposaient à cause de leur désir de maternité, l'interdiction religieuse, l'opposition du conjoint et la crainte des effets secondaires.Conclusion: l'information suffisante et centrée sur chaque cliente ou son couple, sur la planification familiale, devrait être renforcée de façon à éliminer les fausses croyances, ce qui accroitrait l'utilisation des méthodes contraceptives modernes


Asunto(s)
Anticoncepción , Anticoncepción de Barrera , Encuestas de Prevalencia Anticonceptiva , República Democrática del Congo , Mujeres
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